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« Le spectacle propose un panorama énigmatique qui se transforme subrepticement en une sorte de confession au regard des souffrances et des luttes racontées à des destinataires différents qui se confondent, comme par enchantement, avec les spectateurs »

J'ai été fasciné par David Nathanson, juste accompagné d'un musicien au plateau, dans « Truffaut, correspondance » Là, l'imaginaire se déploie. Thomas Snegaroff

On se régale de ces bijoux épistolaires que David Nathanson délivre avec perfection, un magnifique hommage au cinéaste,
et un spectacle essentiel, aussi fin qu'intelligent. Froggy's delight

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Le choix des lettres est remarquable, dresse un portrait en creux et crée un jeu avec les spectateurs. C'est la force de ce spectacle que d'avoir su mettre le théâtre au service du cinéma et de la littérature. Précipitez-vous pour aller voir ce spectacle passionnant. SNES FSU

« Truffaut-Correspondance », un spectacle qui parle de la vie.

L’ensemble, aussi hétéroclite qu’il puisse paraître, est réjouissant, porté par le talent de David Nathanson, dialoguant avec son pianiste aux accents des plus célèbres mélodies des films de Truffaut. L’habileté de la mise en scène (co-réalisée par Judith d'Aleazzo et David Nathanson), l’ingéniosité d’un dispositif vidéo qui souligne discrètement chaque lecture, contribue à la fluidité du spectacle.

Après son extraordinaire adaptation du roman « Le Nazi et le barbier » d’Edgar Hilsenrath et « D’autres vies que la mienne » d’Emmanuel Carrère, le comédien et metteur en scène David Nathanson nous offre à nouveau un très beau moment de théâtre.

Avec la complicité de l’excellent pianiste Antoine Ouvrard (en alternance avec Pierre Courriol), il déroule avec délectation la plume souvent acerbe de Truffaut, alternant humour pétillant, colère, tendresse, émotion et réflexions politiques.

« Truffaut-Correspondance » n’est ni une pièce sur le réalisateur des 400 coups, ni sur le cinéma, mais une superbe déclaration d’amour à un homme empli de failles, de passions, et fou des mots. Les Boomeuses

Le grand réalisateur français ravivé avec Truffaut-Correspondance.  

L’heure de spectacle passe dans un souffle tant son contenu est passionnant. La mise en scène de Judith d'Aleazzo et David Nathanson concourt à installer un rythme qui ne perd jamais en intensité, les mots sont beaux, ils sont prenants, impossible de les sortir de son esprit une fois la pièce finie dans une belle salve d’applaudissements. Publik'Art

« C’est le François intime qui apparait en creux, celui qu’on aurait aimé rencontrer tant sa correspondance montre d’intelligence, de finesse et de drôlerie. Le comédien adopte le ton juste, la délicatesse qui s’impose»

« Accompagné d’Antoine Ouvrard ou Pierre Courriol au piano, le comédien crée un personnage contrasté grâce à la sensibilité avec laquelle il parvient à nuancer la tonalité des lettres choisies et à leur donner une résonance saisissante. 
L’accompagnement musical adroit et raffiné redynamise le spectacle en assouplissant les changements de tonalité et la juxtaposition des thèmes »

« Sur un dispositif élégant et minimal, on redécouvre que le cinéaste était aussi un formidable écrivain. 
David Nathanson est parfait et son camarade au piano, Antoine Ouvrard ou Pierre Courriol (selon les jours) également. 
Que vous soyez truffaldien ou pas, le spectacle vous plaira »

« Un dialogue s’installe entre la pensée de Truffaut, le comédien malicieux et le pianiste habité. Avec une sélection de lettres, les thèmes musicaux de ses films célèbres et des projections, le portrait impressionniste en creux de l’artiste se construit.
Truffaut - Correspondance, est un spectacle très délicat, atypique et délicieux »

« Avec la complicité de Judith d’Aleazzo, David Nathanson a su mettre en vie et en espace un portrait finement ciselé »

« On se laisse bercer par les mots et les notes, plongeant dans ce film en couleur »

« La musique fait des mots une histoire, un film, du cinéma. On tourne dans les mots du cinéaste, le comédien percute les phrases brillamment »

« Un spectacle passionnant »

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Truffaut, correspondance

Adaptation et mise en scène David Nathanson et Judith d'Aleazzo

Avec David Nathanson, et Antoine Ouvrard ou Pierre Courriol au piano

Scénographie Samuel Poncet

Lumières Julie-Lola Lanteri et Erwan Temple

Photos Luca Lomazzi


Avec le soutien des Tréteaux de France, centre dramatique national
La Manekine, scène intermédiaire des Hauts-de-France

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Judith d'Aleazzo par Carlotta Forsberg.jpg

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