Hyménée de Gogol/La noce de Tchekhov Mise en scène Anne-Marie LAZARINI
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"Il faut louer les interprètes, une belle douzaine, tous précis, très bien dirigés.
Salut spécial à la délicieuse Judith d'Aleazzo, la douce Agafia et la terrible Dachenka.
Mais chacun, ici, est épatant. Du vrai théâtre populaire, généreux et intelligent.
Une irrésistible férocité"
Armelle Héliot - Le Figaro
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"...Coup de théâtre, on retrouve Michel Ouimet, irresistible, entrant par la fenêtre au début de "La noce",
en costume de marié. Là, il a fort à faire avec la fiancée, épatante Judith d'Aleazzo, sa famille, les amis.
Et la cérémonie tourne à la foire d'empoigne... C'est malin, d'une tonique acidité."
Marion Thébaud - Madame Figaro
Outside/La vie matérielle de Marguerite Duras
Mise en scène Anne-Marie LAZARINI
"Sur le plateau, quatre comédiennes, remarquables de simplicité, se partagent les textes-partitions autour d’une grande table chargée de tous les ustensiles et ingrédients utiles en cuisine.
Et soudain la parole de Duras, si souvent entêtante et éthérée, semble faite de ça aussi : de matière. Et l’on reçoit comme une confidence amie ces anecdotes visionnaires...
La parole à cru, et la puissance de ses sortilèges." Fabienne Pascaud - Télérama
"Un monde hétéroclite qui intrigue, fait saliver et réjouit.
Duras est là, entre des personnages ordinaires ou dérangeants.
La complémentarité des portraits, le choix des comédiennes qui leur donnent vie,
toutes quatre des natures, charnelles, aériennes, mais habitées, donnent son punch à cette saga.
On se délecte." Marie Ordinis Meg-theatre.com
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Mère Courage et ses enfants de Brecht Mise en scène Anne-Marie LAZARINI
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"Anne-Marie Lazarini met en scène ce monument qui dure près de trois heures. Dans un contexte guerrier, synonyme d'une barbarie issue d'un refus total de compréhension (...) des rideaux blancs-grèges juxtaposés en toile de fond sont poussés ou tirés l'un après l'autre par les comédiens qui apparaissent sur scène. Ils portent des costumes intemporels beiges-blancs et la métaphore de la pièce est cette carriole à la structure et au toit légers, blanc-beige, convertible, qui voyage inlassablement sur la scène, tirée, portée, poussée, déposée, sans cesse déménagée. La distribution comporte douze excellents comédiens qui chantent remarquablement. Judith d'Aleazzo est la fille de cette Mère Courage: cette Catherine muette, belle et charnelle qui nous émeut infiniment." Marie Ordinis - Mag Théâtre
"Anne-Marie Lazarini , vaillamment, en présentant Mère Courage, dénonce le cynisme et oeuvre pour la paix. La distribution est riche de talents.
Judith d'Aleazzo, bouleversante sacrifiée, est impressionnante."
Marie Barral, En 3 mots
"La distribution est riche de talents. Catherine (Judith d'Aleazzo) est une bouleversante sacrifiée" Laurence Liban - L'Express ​
"Chacun des acteurs apporte aux personnages sa part humaine avec l'évidence des êtres simples condamnés à subir, surtout Judith d'Aleazzo, seule à réagir jusqu'au sacrifice pour sauver sa mère, et une cité."
Didier Méreuze, La Croix
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Oncle Vania de Tchekhov Mise en scène Serge LIPSZYC
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"Une lecture simple et sobre de la pièce du génie russe. Tout passe par le jeu des comédiens. Robin Renucci s'en sort brillamment, incarnant un Oncle Vania à la fois chaleureux et caustique. La jeune Estelle Clément- Bealem, avec son côté chien fou, écorchée vive, est une très touchante Sonia. Judith d'Aleazzo campe une Eléna énigmatique et flamboyante. Le public ne boude pas son plaisir, buvant chaque mot du texte de Tchekhov." Philippe Chevilley - Les Echos
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À vies contraires de Julien Roullé-Neuville Mise en scène Judith d'Aleazzo
"On ressort époustouflé par cette pièce, heureux d’un tel moment de plaisir" AVI City Local News
"Comédie originale et divertissante" Télérama
"Répliques cinglantes et rebondissements. Pari gagné !" Pariscope
"Une énergie débordante pour des personnages à la fois pétillants et drôles,
mais également touchants, en un mot, humains.Une petite merveille... !"
Vaucluse matin
"Une pièce intelligente et drôle !" Bsc News
"Une soirée réussie !" Culturebox (France Télévision)
"Un spectacle hilarant !" Webthéa
"Vaudeville moderne, l’occasion de rire aux éclats" Froggy’s Delight
"Une partie de ping-pong de haute volée. Des répliques mémorables !" les Echos
"Une comédie légère sur fond de drames intimes" Rue Du Théâtre
"Une pièce moderne, qui pointe le doigt sur notre société avec réalisme et humour
Un boulevard du 21ème siècle" La Marseillaise
"C’est bigrement efficace, bien écrit, soulevant pas mal de questions cachées sous
un aspect humoristique. On rit franchement et on en redemande !" Reg’Arts
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Le Faiseur de Balzac Mise en scène Robin Renucci, Tréteaux de France
Si tous les comédiens de cette troupe conséquente sont pertinents et
incarnent un caractère aussi saillant et singulier que drôle, on applaudira
tout particulièrement Bruno Cadillon qui interprète un Mercadet cynique
jusqu’à la moelle, Judith d'Aleazzo et Tariq Bettahar, domestiques
pétaradant d’énergie et de bonne humeur communicative, Jeanne Brouaye,
Julie adorablement godiche à laquelle le nez-postiche donne des airs de
souris, et enfin son amoureux gauche Minard, engoncé et frêle, incarné par
Sylvain Méallet. Robin Renucci restitue avec génie, élégance et générosité la
substantifique moelle de l’oeuvre balzacienne : les spectres apparaissant
dans le cauchemar de la faillite finale en sont d'ailleurs une conclusion
prégnante. Et, lorsque l’orage a cessé son vacarme étourdissant, que le bal
des lumières, tremblotantes et baignées de nuit - superbe ! - prend congé,
que Godeau, miraculeusement, est de retour pour achever cette pièce en
comédie, on rit de la version "West Side Story" du chant final où s’opposent
la raison financière des mâles à l’idéalisme amoureux des « purs »...
Bravo! » Julie Cadilhac - Lagrandeparade
"Nul besoin d’actualiser cette comédie grinçante pour lui trouver un écho aujourd’hui : Robin Renucci place les dix comédiens dans un décor aussi raffiné que pertinent, retranscrivant parfaitement l’atmosphère de l’époque. Travaux de rénovation, saisie d’huissier, tréteaux de théâtre ou ring de boxe, la scénographie brouille les pistes pour mieux questionner le spectateur. Un théâtre généreux et élégant, qui donne à entendre la langue balzacienne, terrible de clairvoyance et de drôlerie, pour mieux interroger le monde dans lequel nous vivons"
Théâtre du Parc
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"La mise en scène d'Anne-Marie Lazarini est juste, dans le sens où elle ne donne jamais prise au sentimentalisme. Les comédiens sont tous formidables : Judith d'Aleazzo, fille muette, elle qui ne peut faire de commentaire, aura le premier et dernier mot et sa perte sera son premier et dernier gain."
Laure Adler, France Inter
"Judith d'Aleazzo donne une puissance
claire, évidente à son personnage."
Gilles Costaz, Webthea
« Reggiani par Eric Laugérias » est un grand moment de théâtre, où le chant devient Verbe, où la scène devient cercle poétique. Il est né de l’amour de ces deux artistes que sont Eric Laugerias et Judith d’Aleazzo pour Serge Reggiani. Mais ce moment, créé là, va bien au-delà. Il est des artistes qu’on ne peut pas juste évoquer. On les invoque, on les déploie, pour aller plus loin, pour ouvrir un chemin infini vers une poésie toujours à venir.
Vous aimez Serge Reggiani …
Ou vous ne le connaissez pas ? Que ce nom soit de votre monde, ou non, qu’importe ! Allez vite, très vite, voir « Reggiani » dans mise en scène conjointe de Judith d’Aleazzo et Eric Laugérias, mise en jeu si juste qui ouvre tous les possibles, qui fait entrer le chant dans le théâtre, qui fait parler le chanteur avec le piano, fait respirer le comédien par la musique, fait entendre ces mots chantés en Verbe poétique.
L’art d’un comédien
Et vous découvrirez qu’un grand comédien peut faire entendre d’un texte ce que l’on n’en avait pas saisi, ou oublié quelque part, rangé dans de vagues souvenirs, émouvants ou drôles. Mais là, soudain, se déploie l’intensité d’un univers qui nous porte bien au-delà de ce que même l’on croyait connaître. Et « Reggiani » est un moment rare de théâtre où des mots, écrits un jour par quelqu’un se voient tant aimés par un artiste transporté, qu’ils se transforment en poésie universelle.
Et soudain, vous ne saurez plus s’il faut rire ou pleurer… Oui, vous allez pleurer, très vite, et puis rire, au rythme d’après, pour retomber au souffle suivant dans une émotion venue du plus loin de vous, du plus loin de nous tous.(...) Offrir ainsi l’univers de Serge Reggiani , c’est ne pas laisser les artistes partir seuls vers leurs coulisses, ne pas laisser les souffleurs dans l’ombre. Voilà qui a un nom, la Mémoire : ni hommage référentiel, ni évocation , « Reggiani » est simplement, intensément, la création d’une mémoire vivante, l’affirmation que ces textes-là sont poésie vouée à un éternel retour" Sophie Demichel-Borghetti Musanostra
